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16 jours d’activisme : La violence peut-être silencieuse ! ( Vidéo 2)

Selon l’OMS, une femme sur trois est victime de violence physique ou sexuelle – le plus souvent par un partenaire intime. Lorsque l’on prend en compte le harcèlement sexuel, ce chiffre est encore plus élevé. Cela signifie qu’il est probable que vous ou quelqu’un que vous connaissez (une collègue, une amie, une voisine, une sœur, une fille ou même un partenaire – ait été victime de violence fondée sur le genre).

La violence basée sur le genre (VBG), parfois aussi appelée violence sexiste, se réfère à l’ensemble des actes nuisibles, dirigés contre un individu ou un groupe d’individus en raison de leur identité de genre. Elle prend racine dans l’inégalité entre les sexes, l’abus de pouvoir et les normes néfastes.

La violence basée sur le genre est souvent associée à la violence physique – visible sous forme de marques, de blessures ou autres. Cependant, la violence peut être silencieuse. Il peut s’agir de toute parole, action ou tentative de contrôle, de menace ou de préjudice à l’encontre d’une autre personne, en ligne ou hors ligne. Dans le monde entier, les femmes et les filles souffrent d’une injustice et d’une discrimination systématiques fondées sur leur genre, ce qui entraîne des abus et des violences économiques, sociales et physiques.

Pendant les 16 jours d’activisme, il est temps de rendre visible l’invisible et de briser la culture du silence. Partagez cette histoire #ViolenceCanBeSilent pour témoigner votre solidarité et vous associer à notre appel visant à prévenir et à mettre fin à la violence contre les femmes

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